La dysgraphie
http://www.graphotherapie.fr/dysgraphie.htm
La dysgraphie est une anomalie du mouvement cursif, de la conduite du trait, qui se traduit par des difficultés de coordination, des irrégularités d’espacements entre les lettres et les mots, des malformations et des discordances de toutes sortes, souvent alliées à une qualité du trait défectueuse.
Les différentes dysgraphies :
Dysgraphies raides : caractérisées par la tension, la crispation : l’écriture est tendue, hypertonique.
Dysgraphies molles : caractérisées par le relâchement du tracé, l’irrégularité de la dimension des lettres donne à l’ensemble du graphisme un aspect de négligence, de laisser-aller.
Dysgraphies lentes et précises : caractérisées par l’excès de structure, une recherche paralysante de précision et une absence de mouvement et de rythme. Le graphisme est très appliqué mais cette qualité apparente est maintenue au prix d’un effort épuisant.
Dysgraphies impulsives: caractérisées par la rapidité du geste, les heurts et le mauvais contrôle. Le graphisme perd toute structure, il est précipité et manque totalement de fermeté et d’organisation.
La dysgraphie peut surgir seule, mais le plus souvent elle est la conséquence directe de la dyspraxie. Elle est également très souvent associée à une dysorthographie. A l’heure actuelle dans le milieu scolaire, plus de 20% des élèves sont dysgraphiques, en majorité des garçons.
La dysgraphie est une anomalie du mouvement cursif, de la conduite du trait, qui se traduit par des difficultés de coordination, des irrégularités d’espacements entre les lettres et les mots, des malformations et des discordances de toutes sortes, souvent alliées à une qualité du trait défectueuse.
Les différentes dysgraphies :
Dysgraphies raides : caractérisées par la tension, la crispation : l’écriture est tendue, hypertonique.
Dysgraphies molles : caractérisées par le relâchement du tracé, l’irrégularité de la dimension des lettres donne à l’ensemble du graphisme un aspect de négligence, de laisser-aller.
Dysgraphies lentes et précises : caractérisées par l’excès de structure, une recherche paralysante de précision et une absence de mouvement et de rythme. Le graphisme est très appliqué mais cette qualité apparente est maintenue au prix d’un effort épuisant.
Dysgraphies impulsives: caractérisées par la rapidité du geste, les heurts et le mauvais contrôle. Le graphisme perd toute structure, il est précipité et manque totalement de fermeté et d’organisation.
La dysgraphie peut surgir seule, mais le plus souvent elle est la conséquence directe de la dyspraxie. Elle est également très souvent associée à une dysorthographie. A l’heure actuelle dans le milieu scolaire, plus de 20% des élèves sont dysgraphiques, en majorité des garçons.